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Réaménagement du pâté de maisons 200 de l’avenue Banff

À la fin des années 1990, Parcs Canada a constaté la nécessité d’améliorer les services d’accueil, d’orientation et d’éducation qui étaient fournis aux visiteurs du parc national Banff. Il a alors déterminé que le cœur de Banff serait le meilleur endroit pour apporter ces améliorations, car 80 % des visiteurs s’y arrêtent pendant leur séjour. À cette fin et sachant qu’il lui faudrait des années pour y arriver, Parcs Canada a commencé à faire l’acquisition des terres nécessaires le long du pâté de maisons 200 de l’avenue Banff.

Après plus de deux décennies et demie de travail, Parcs Canada prévoit que, le 30 septembre 2024, il disposera de 10 lots contigus le long de l’avenue Banff. Ces lots abritent le parc de l’avenue Banff, le centre d’accueil et le stationnement adjacent ainsi que deux autres bâtiments.

L’objectif consiste à réaménager ces lots pour y offrir des installations, des espaces et des programmes qui aideront les visiteurs à découvrir le reste du parc et à en profiter pleinement, tout en leur faisant comprendre les défis auxquels doivent faire face des aires protégées comme le parc national Banff.

Il reste encore à définir quel sera le résultat final de ce projet ainsi qu’à préciser les détails des programmes et des services qui seront offerts sur la parcelle réaménagée. Ce résultat final se dessinera au cours d’un processus appelé « définition de la portée », qui se concentrera sur les étapes suivantes :

1) obtenir un portrait complet de l’état des lieux à l’aide d’études détaillées;

2) définir les principes, les facteurs à considérer, les contraintes, les besoins et les aspirations entourant le réaménagement avec l’aide des communautés autochtones, des intervenants et du public.

Les résultats de ces activités serviront ensuite à élaborer un cadre qui orientera la prise de décisions et l’élaboration des options de réaménagement (aussi appelées schémas théoriques).

Principes et facteurs à considérer

Plusieurs principes régiront le travail de planification et l’élaboration des options de réaménagement. En voici une ébauche :

  • Durabilité – Un environnement sain est essentiel à la résilience et à la santé de la population. Les installations doivent donc contribuer à la préservation et à la protection des ressources naturelles et culturelles du parc par leur conception, leur construction et leur exploitation à long terme.
  • Accessibilité – Les installations doivent présenter diverses caractéristiques qui favorisent l’inclusion et empêchent toute discrimination : une conception exempte d’obstacles, des toilettes sans distinction de genre et un environnement accueillant et respectueux.
  • Esprit des lieux – Tout en se fondant dans l’espace urbain qui les entoure, les installations doivent : créer un équilibre entre les espaces bâtis et les espaces ouverts; inviter le public à quitter la parcelle réaménagée pour explorer le parc; refléter le caractère du parc national; préserver la qualité des panoramas.
  • Établissement de liens – Pour favoriser l’exploration et créer une transition vers le reste du parc, les installations doivent être perméables et englober des espaces ouverts propices aux rassemblements, à la contemplation et à la conversation.
  • Concordance avec la raison d’être – Il ne faut pas aspirer à un résultat final qui répondra à tous les besoins; les installations devraient plutôt, par leur conception, leur construction et leur exploitation, étayer les objectifs à long terme du plan directeur du parc et le mandat de Parcs Canada.
  • Collaboration – Les installations devraient refléter les valeurs et les aspirations du peuple canadien à l’égard des parcs nationaux. Pour ce faire, il faut de l’information accessible fournie en temps opportun et des processus de mobilisation transparents. La décision finale sur le projet devra tenir compte de l’emplacement de la parcelle au cœur de la collectivité ainsi que du rôle que pourraient jouer d’autres intervenants dans son avenir.
  • Respect et authenticité – Le processus de réaménagement doit tenir compte de l’histoire et des cultures qui ont façonné le secteur. Dans la mesure du possible et là où les parties concernées conviennent de le faire, il doit aussi intégrer les récits, les jalons, les cérémonies et les traditions connexes avec authenticité et intégrité.

Les facteurs à considérer représentent les critères à appliquer pour choisir parmi les options de réaménagement et déterminer le résultat final du projet ainsi que la manière d’y parvenir. En voici une ébauche :

  • Intégrité écologique et culturelle
  • Utilisation judicieuse des deniers publics
  • Sécurité publique
  • Lois et normes fédérales et provinciales
  • Priorités, engagements et plans du gouvernement du Canada et de Parcs Canada
  • Apport des Autochtones, des intervenants et du public
  • Contribution à l’expérience du visiteur
  • Contexte du parc national et de la collectivité
  • Particularités de la parcelle à réaménager
  • Opérations à long terme

Les résultats de l'étape d'engagement du public sont en cours d'analyse.

À la fin des années 1990, Parcs Canada a constaté la nécessité d’améliorer les services d’accueil, d’orientation et d’éducation qui étaient fournis aux visiteurs du parc national Banff. Il a alors déterminé que le cœur de Banff serait le meilleur endroit pour apporter ces améliorations, car 80 % des visiteurs s’y arrêtent pendant leur séjour. À cette fin et sachant qu’il lui faudrait des années pour y arriver, Parcs Canada a commencé à faire l’acquisition des terres nécessaires le long du pâté de maisons 200 de l’avenue Banff.

Après plus de deux décennies et demie de travail, Parcs Canada prévoit que, le 30 septembre 2024, il disposera de 10 lots contigus le long de l’avenue Banff. Ces lots abritent le parc de l’avenue Banff, le centre d’accueil et le stationnement adjacent ainsi que deux autres bâtiments.

L’objectif consiste à réaménager ces lots pour y offrir des installations, des espaces et des programmes qui aideront les visiteurs à découvrir le reste du parc et à en profiter pleinement, tout en leur faisant comprendre les défis auxquels doivent faire face des aires protégées comme le parc national Banff.

Il reste encore à définir quel sera le résultat final de ce projet ainsi qu’à préciser les détails des programmes et des services qui seront offerts sur la parcelle réaménagée. Ce résultat final se dessinera au cours d’un processus appelé « définition de la portée », qui se concentrera sur les étapes suivantes :

1) obtenir un portrait complet de l’état des lieux à l’aide d’études détaillées;

2) définir les principes, les facteurs à considérer, les contraintes, les besoins et les aspirations entourant le réaménagement avec l’aide des communautés autochtones, des intervenants et du public.

Les résultats de ces activités serviront ensuite à élaborer un cadre qui orientera la prise de décisions et l’élaboration des options de réaménagement (aussi appelées schémas théoriques).

Principes et facteurs à considérer

Plusieurs principes régiront le travail de planification et l’élaboration des options de réaménagement. En voici une ébauche :

  • Durabilité – Un environnement sain est essentiel à la résilience et à la santé de la population. Les installations doivent donc contribuer à la préservation et à la protection des ressources naturelles et culturelles du parc par leur conception, leur construction et leur exploitation à long terme.
  • Accessibilité – Les installations doivent présenter diverses caractéristiques qui favorisent l’inclusion et empêchent toute discrimination : une conception exempte d’obstacles, des toilettes sans distinction de genre et un environnement accueillant et respectueux.
  • Esprit des lieux – Tout en se fondant dans l’espace urbain qui les entoure, les installations doivent : créer un équilibre entre les espaces bâtis et les espaces ouverts; inviter le public à quitter la parcelle réaménagée pour explorer le parc; refléter le caractère du parc national; préserver la qualité des panoramas.
  • Établissement de liens – Pour favoriser l’exploration et créer une transition vers le reste du parc, les installations doivent être perméables et englober des espaces ouverts propices aux rassemblements, à la contemplation et à la conversation.
  • Concordance avec la raison d’être – Il ne faut pas aspirer à un résultat final qui répondra à tous les besoins; les installations devraient plutôt, par leur conception, leur construction et leur exploitation, étayer les objectifs à long terme du plan directeur du parc et le mandat de Parcs Canada.
  • Collaboration – Les installations devraient refléter les valeurs et les aspirations du peuple canadien à l’égard des parcs nationaux. Pour ce faire, il faut de l’information accessible fournie en temps opportun et des processus de mobilisation transparents. La décision finale sur le projet devra tenir compte de l’emplacement de la parcelle au cœur de la collectivité ainsi que du rôle que pourraient jouer d’autres intervenants dans son avenir.
  • Respect et authenticité – Le processus de réaménagement doit tenir compte de l’histoire et des cultures qui ont façonné le secteur. Dans la mesure du possible et là où les parties concernées conviennent de le faire, il doit aussi intégrer les récits, les jalons, les cérémonies et les traditions connexes avec authenticité et intégrité.

Les facteurs à considérer représentent les critères à appliquer pour choisir parmi les options de réaménagement et déterminer le résultat final du projet ainsi que la manière d’y parvenir. En voici une ébauche :

  • Intégrité écologique et culturelle
  • Utilisation judicieuse des deniers publics
  • Sécurité publique
  • Lois et normes fédérales et provinciales
  • Priorités, engagements et plans du gouvernement du Canada et de Parcs Canada
  • Apport des Autochtones, des intervenants et du public
  • Contribution à l’expérience du visiteur
  • Contexte du parc national et de la collectivité
  • Particularités de la parcelle à réaménager
  • Opérations à long terme

Les résultats de l'étape d'engagement du public sont en cours d'analyse.

Dernière mise à jour de la page: 21 nov 2024, 14h50